Autrefois le village était doté de beaucoup d’artisans :
Rue de Bussy
- Le café Giraudeau devenu Thomas puis Simon avec une très jolie salle de danse qui a fait danser nos parents, nous-même et nos enfants.
- Deux épiceries qui faisaient aussi épiceries ambulantes une avec son cheval et l’autre avec une camionnette.
- Une boulangerie puis elle s’est installée place de l’Église
- Une petite épicerie qui faisait aussi bureau de tabac tenue par Mme Rousseau. Son fils Hector a installé une girouette le représentant en train de traire sa vache surnommée « La République » au 3 rue de Verlins sur la grange. On peut encore la voir.
- Un bureau de poste rue de Bussy
Place de l’Église
- Un maréchal ferrant qui après est devenu un café
- Un charron
- Un négociant en grains et engrais
- Une mercerie, tenue par la femme du négociant en grains et engrais
Route de St Loup
- Un bourrelier
- Deux couturières
- Une boucherie qui faisait aussi abattoir (pas avec les cadences d’aujourd’hui)
- Un maquignon en bestiaux « veaux »
- Un marchand de bestiaux
- Une menuiserie
- Une lavandière
- Un sabotier barbier
- Un tonnelier
- Un cordonnier
Route de Verlins
- Un magasin d’engais qui est devenu un dépot de bois puis une résidence secondaire d’abord et principale
- Une école avec une classe unique puis deux et maintenant une seule école de deux classes
- Un coiffeur surnommé Zazou
Le Blason créé en 2020
Une merlette. En héraldique, la merlette figure sans pieds, ni bec. C’est le « symbole du chevalier qui a fait le voyage d’outre-mer pour la délivrance des lieux saints et qui s’est laissé mutiler plutôt que de commettre une lâcheté indigne d’un croisé » (Eysenbach : Hist. du Blason)
Une merlette est un oiseau imaginaire ressemblant à une canette, toujours figuré de profil, les ailes contre le corps, sans bec ni pattes. Après l’aigle, c’est l’oiseau le plus fréquent dans les armoiries médiévales. Il est généralement employé en nombre dans un même champ.